Icono-diagnosis of therapeutic scarification in Sub-Saharan Africa
Résumé
Au-delà de l’expression de la pensée et des considérations esthétiques, les œuvres d’art se révèlent être de véritables sources d’informations. Étudiées dans plusieurs sciences humaines, elles intéressent également le domaine médical. En effet, à partir de représentations graphiques humaines, il est possible d’établir un diagnostic médical grâce à un icono-diagnostic. Ce thème a été abordé lors d’un colloque au musée du quai Branly – Jacques Chirac et a inspiré cet article.
Basé sur des travaux traitant de différentes lésions cutanées et leurs circonstances d’apparitions, cet article conceptuel traite de la scarification thérapeutique dans les cultures d’Afrique subsaharienne.
Ayant existé dans plusieurs cultures du monde, les scarifications ont plusieurs significations. Bien qu’elles tendent à disparaître, elles sont encore présentes dans de nombreuses cultures d’Afrique subsaharienne. Marqueur socioculturel, les scarifications témoignent également d’une tradition thérapeutique. Les considérations spirituelles ainsi que les diversités symboliques et graphiques au sein des différents groupes culturels entraînent des confusions possibles. Cela pose la question d’un icono-diagnostic efficace et des clés nécessaires à un diagnostic fiable.
Il est possible d’établir un icono-diagnostic à partir des scarifications en Afrique subsaharienne. Cependant, la fiabilité du diagnostic dépend d’une parfaite connaissance des cultures d’origine étudiées. Il est nécessaire de réaliser une étude des codes culturels de la population étudiée préalablement au diagnostic. Compte tenu des spécificités culturelles et spirituelles des sociétés d’Afrique subsaharienne, il nous semble intéressant d’ouvrir les champs de cette recherche aux sciences humaines dont les implications semblent évidentes.
Mots clés : icono-diagnostic, scarifications, culture, Afrique subsaharienne, thérapie
Abstract
Beyond the expression of thought and aesthetic considerations, works of art are proving to be real sources of information. Studied in several human sciences, they are also of interest in the medical field. Indeed, with human graphic representations, it is possible to establish a medical diagnosis thanks to an icono-diagnosis. This theme was discussed during a symposium at the quai Branly – Jacques Chirac museum and inspired this article.
Based on work dealing with different skin lesions and their circumstances of occurrence, this conceptual article deals with therapeutic scarification in sub-Saharan African cultures.
Having existed in several cultures of the world, scarification has several meanings. Although they are tending to disappear, they are still present in many sub-Saharan African cultures. As a sociocultural marker, scarification also bears witness to a therapeutic tradition. Spiritual considerations as well as symbolic and graphic diversities within the different cultural groups lead to possible confusion. This raises the question of an effective icono-diagnosis and the keys necessary for a reliable diagnosis.
It is possible to establish an icono-diagnosis based on scarification in sub-Saharan Africa. However, the reliability of the diagnosis depends on a perfect knowledge of the cultures of origin studied. It is necessary to carry out a study of the cultural codes of the population studied prior to the diagnosis. Given the cultural and spiritual specificities of Sub-Saharan African societies, it seems interesting to us to open the fields of this research to human sciences whose implications seem obvious.
Keywords: icono-diagnosis, scarifications, culture, sub-Saharan Africa, therapy
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The article offers a fascinating perspective on therapeutic scarification in sub-Saharan Africa, blending cultural insight with medical potential. I found the emphasis on icono-diagnosis particularly intriguing and thought-provoking.
Thank you for your feedback. We are delighted to know that you are interested in this article. We are working on publishing others on various themes, but always related to sub-Saharan cultures. See you soon.
Cest drôle, larticle parle de diagnostic à partir des cicatrices ! Moi, je me ferais diagnostic à partir de mes cafés du matin… Ah, bon, cest peut-être pas ça quon attend ! Lidée de lier ces pratiques aussi diverses à des codes culturels est sympa, mais attention, ça pourrait devenir compliqué. On va finir par devoir apprendre tout le monde pourdiagnostiquer un déjeuner ? Bon courage à eux ! 😉laser marking machine
Cest tout simplement fascinant ! Lidée que nos gravures puissent être des indices médicaux est hallucinante. Imaginez mon médecin se penchant sur mon dos sculpté pour diagnostiquer ma grippe ! Dommage que cela ne fonctionne que dans lAfrique subsaharienne, où lon semble mieux faire attention à ces traditions. Mais attention, pour quil fonctionne, il faut connaître la culture à fond, sinon on se prendra le dos pour un tableau abstrait mystérieux. Bref, ouf, mon médecin connaît bien lart africain !đếm ngược online
Cest avec great étonnement que jai lu cet article sur licono-diagnostic des scarifications au Sahel. On pourrait croire quil faut passer un diplôme de lire les dessins de la peau pour diagnostiquer quelquun ! Lidée est drôle, mais je me demande sil faut aussi être expert en spiritualités et en codage graphique pour éviter de confondre un tatouage de guérison avec une commande à pizza. Bref, ouf, je suis content de ne pas être médecin, sinon jaurais besoin dun Master en anthropologie avant de sortir mon stéthoscope ! 😉basketball stars
Cest avec GREAT étonnement que jai lu cet article sur liconto-diagnostic des scarifications en Afrique subsaharienne. Le fait que lon puisse diagnostiquer des maux à partir de ces beautés graphiques est à la fois fascinant et légèrement effrayant. Imaginez vous, en train de vous faire soigner en fonction de la connaissance des codes culturels, ça fait un peu de vaudou médical, non ? Mais sérieusement, cest une perspective qui mérite dêtre explorée avec humour et respect pour les traditions. Et puis, qui na pas aimé labsurdité de labstract ? Studied in several human sciences, they are also of interest in the medical field. Quelle drôle de phrase ! Bref, un article qui fait réfléchir et sourire en même temps, cest une réussite !compress images size in kb
Cest une perspective fascinante, mais je crains que mon icono-diagnostic pour larticle lui-même soit un peu trop noir : très probablement un excès de jargon et de phrases longues. Cependant, lidée de pouvoir diagnostiquer à partir des cicatrices est brillante, à condition que lon ait lu les instructions de léchantillon avant de commencer ! Il faut vraiment connaître la culture dorigine pour ne pas confondre une cicatrice esthétique avec une indication pour une cure de sang de chupacabra. Les sciences humaines auraient sans doute besoin dun guide de chien de garde icono-diagnostique pour ne pas être dépassés par la quantité de codes à décoder.act 2 ai video
Cest une approche *parfaite* pour diagnostiquer lennui : une icono-diagnostic basé sur les scarifications ! On peut presque sentir le vif-argent médical qui jaillit de ces lignes. Mais attention, il faut peut-être passer le test de connaissance culturelle avant de prescrire le tutti-frutti tribal en cure de rajeunissement. Sinon, on risque un diagnostic aussi fiable quun horoscope indien pour un chat. Bien sûr, si vous êtes prêt à plonger dans la mer des codes culturels avec la rigueur dun érudit de quai Branly, pourquoi pas ? Lavenir de la médecine pourrait être incroyablement décoratif !deltarune full prophecy
Cest avec grand intérêt que jai lu cet article sur licono-diagnostic des scarifications au Sahel. Pourquoi pas une little apprenti medicine symbolique basée sur linterprétation des motifs ? Mais attention, la prochaine fois quon aura un patient avec un dessin de crocodile, on ne lenvoie pas tout de suite chez le dermatologue, faut faire une batterie de tests culturels préalables ! Le lien avec les humanités est inévitable, mais attention à ne pas confondre une scarification décorative avec une indication thérapeutique. Sinon, on risque de traiter un patient pour une esthétique quil na pas demandée !速度之星 游戏
Cest drôle, larticle parle de diagnostic à partir des cicatrices ! Moi, je me ferais diagnostic à partir de mes cafés du matin… Ah, bon, cest peut-être pas ça quon attend ! Lidée de lier ces pratiques aussi diverses à des codes culturels est sympa, mais attention, ça pourrait devenir compliqué. On va finir par devoir apprendre tout le monde pour diagnostiquer un déjeuner ? Bon courage à eux ! 😉grow a garden calculator